ma vie d homme trans.

construire son identite propre et pouvoir la vivre au dela de l indifference des autres.

posté le 27-06-2009 à 08:06:33

bon samedi a tous....

passer tous une tres belle journée

j espere que par chez vous il fait beau,nous ici il mouille et l humiditée est encore au render vous.

 


 
 
posté le 21-06-2009 à 06:08:15

cadeaux de mon amie nala

voici un tres beaux cadeaux realiser par mon amie nala que j apprecie beaucoup et que j aime enormement,sa me touche beaucoup mon amie,

 


 
 
posté le 06-06-2009 à 07:33:45

Ne devient pas transsexuel qui veut.....

un article paru en 1998 par la presse,,je ne suit pas en accord a 100% avec la physiatrique en tout cas dans mon cas puisque moi j ai sautee par dessus mais pour certains oui ils en ont besoin car souvent c juste un cas de gay ou lesbienne refouler ou endormi et qui fait refait surface des annees apres alort imaginer si ils ont eter operer alort la sa devient castatrophique donc oui la plupart doives passer par la et je le confirme pour en avoir vu moi meme de mes yeux des personnes que j aidait et qu en plein travail oups il changait d idee ho excuse moi alex mais non tu a raison en fin de compte je suit dans le bon corps mais je me refoulait a mon identitee,,,, Au Québec , on ne passe pas de Paulette à Paul (ou vice versa) en quelques coups de bistouri. Changer de peau pour un transsexuel n'a rien d'un simple traitement esthétique. Son parcours prend souvent une allure de véritable chemin de croix. Avant d'espérer une chirurgie (à l'hôpital ou en cabinet privé, une personne qui se considère transsexuelle doit, d'abord, obtenir deux recommandations formulées par deux médecins psychiatres. "Un des médecins doit suivre le patient durant une période minimum de six mois en thérapie psychiatrique. La personne qui veut un changement de sexe doit avoir vécu en femme ou en homme durant au moins 12 mois consécutifs. Enfin, elle doit être en bonne santé et le prouver avec plusieurs tests médicaux. Quant au docteur Assalian, chef de l'unité des dysfonctions sexuelles et du département de psychiatrie à l'Hôpital général de Montréal , il exige jusqu 'à trois ans de psychothérapie. "Sur les quelque 500 transsexuels qui m'ont consulté, 30 % seulement ont poursuivi leur métamorphose jusqu 'aux chirurgies", confie le spécialiste. "Je vais exiger entre deux et trois ans de psychothérapie chez un patient. Je m'assure ainsi de la pertinence de sa décision. Environ 10 % des transsexuels opérés le regrettent. Certains vont parfois jusqu'au suicide." Une personne qui sentirait qu'elle n'est pas née dans la bonne enveloppe corporelle peut souffrir de troubles autres que le transsexualisme. "Ce n'est pas parce que quelqu'un affiche des problèmes d'identité qu'il est, ipso facto, un transsexuel, explique docteur Assalian. Parmi les patients que je refuse, poursuit-il, il y a les homosexuels efféminés, les travestis, les hermaphrodites, les psychotiques convaincus qu'ils sont dans un corps différent, les prostitués, etc." Pourquoi exclure les prostitués? "Les prostitués transsexuels donnent une mauvaise image du transsexualisme, croit Pierre Assalian. C'est malheureux, mais dans les faits, les gens qui souffrent du trouble de l'identité de genre ne font pas la rue. Ce sont souvent des gens qui travaillent, qui sont même des professionnels." Les chirurgies en transsexualisme ne peuvent donc être prises à la légère. Elles sont lourdes de conséquences. Et, surtout, irréversibles. Pire: les causes du trouble de l'identité sont multiples. Pour ne pas dire infinies... Et comme si cet univers n'était pas assez complexe, peu de médecins et de chirurgiens se spécialisent en la matière. "Il m'arrive de me remettre en question", avoue le chef du service de psychiatrie de l'Hôpital général de Montréal . "Avec mon métier, je sens parfois que je prends la place de Dieu... mais je me ressaisis et je me dis que ces gens souffrent beaucoup et qu'il faut soulager leur douleur ..
 


 
 
posté le 05-06-2009 à 16:34:23

2 ans deja que je suit libérée.....

Voila aujourdh'ui ca fait deux ans que , jai subis mon hysterectomie,et je me doit de le souligner a chaque années car pour moi se fut une tres grande libération et une epreuve de force ,de courage et de perseverances.on dirait que setait hier et pourtant non ,sa fait 2 ans aujourdhuis jour pour jour que je suit libérée de tout sa,qu elle joie immence de bien se sentir dans sa peau sans que plus rien ne vienne noircir ma propre vie,ni meme ma propre image, que je me suit bati,je peut maintenant me regarder dans le miroir completement sans avoir honte ,je peut meme dire que j aime beaucoup me regarder car je suit tres fier de se que je suit devenu aujourdhuis.Cette opération a été pour moi vraiment quelque chose de très important pour moi, une tres grande libération,ma renaissance si on peut dire ainsi. j ai su reapprivoiser mon corps, pour enfin le reconnaitre, car se corps m appartient,j ai donc du le reaprivoiser tranquillement... il y a 2 ans pour la premiere fois dans ma vie, je me suit enfin senti moi meme sans aucunne honte...j ai enfin pu reprendre le corps qui m appartient.

 


 
 
posté le 05-06-2009 à 06:01:12

LA PEUR.............

< La chose que l'on craint en nous ne demande que notre amour. > Marsha Sinetar Aujourd'hui, soyez indulgent envers vos peurs. Ne vous punissez pas parce que vous en avez. Elles font autant partie de vous que vos talents et vos rêves. Aujourd'hui, je m'aime et j'aime qui je suis. Mes peurs sont juste une partie de tout ce que je suis. Je suis un être humain en voie de guérison et chaque partie de moi est un élément essentiel de ma personnalité.

 


 
 
posté le 03-06-2009 à 07:19:10

Le soutien affectif‏

< Nul ne peut vivre qu'en fonction de lui-même. des milliers de fibres nous lient à nos frères; parmi ces fibres, tels des liens de sympathie, nos actions se transmuent en causes et nous reviennent sous forme d'effets. > Herman Melville Je peux accepter l'aide et le soutien affectif des autres. C'est vrai, j'ai vécu de mauvaises expériences qui m'ont porté à croire que l'aide et le soutien affectif sont des signes de faiblesse qui mènent inévitablement à la trahison ou à l'exploitation. En réalité, il y a des êtres qui sont dignes de confiance et dont je peux accepter l'appui. Je suis disposé à recevoir l'aide des autres, de la même façon que je suis disposé à offrir mon aide et mon support affectif.
 


 
 
posté le 03-06-2009 à 07:11:30

savoir tout pardonner ou presque...............

Il faut savoir tout pardonner mais ne jamais oublier, Garder comme un secret toutes nos expériences. Faire de nos erreurs un fameux bouclier indestructible Qui nous servira a l'avenir à épauler toutes nos chances. La chance de mieux vivre, pour éviter le pire, La chance d'être beaucoup meilleur et aussi beaucoup plus fort, La chance de rester tres calme et peut etre même de sourire Devant toutes les injustices qui nous font tant mal . Il faut savoir tout pardonner et pouvoir garder son sang-froid Et voir venir la main qui a pu nous blesser. mais bien sur,Sans nous laisser blesser une seconde fois, C'est cela l'expérience et c'est cela vieillir savoir pardonner sinon nous causerons notre propre malheur nous meme. se n ait pas evident a faire,en tout cas,dans mon cas, mais au fil du temps,j imagine que sa peut se faire, mais j ai beaucoup de misere avec le savoir pardonner.................... j ajouterait que sa fait tres mal,de se faire avoir et berner par quelqu un, je commence a croire en fin de compte,que le seul vrais ami qui existe est soi-meme et ses 4 murs,car le mur lui au moins ne te fait pas de mal.................... bonne journee les amis
 


 
 
posté le 02-06-2009 à 16:12:35

Des droits transitoires

Au cours des dernières années, nous avons fait des pas de géants au chapitre des droits humains. Enfin, certains droits pour certains humains... Une fois l'homosexualité décriminalisée à la fin des années soixante, ce fut au tour de la psychiatrie d'atténuer, au début des années soixante-dix, le regard négatif sur les personnes gaies et lesbiennes. Ensuite, les commissions des droits de la personne se mirent à protéger les personnes contre la discrimination motivée par l'orientation sexuelle. Plus récemment, la longue marche vers l'égalité juridique mena jusqu'à la reconnaissance du droit égal au mariage civil pour les couples de même sexe. Or, qu'en est-il pour les personnes transsexuelles ou «trans» (ce qui comprend autant les transsexuels que les personnes transgenres). On peut imaginer que les personnes trans ont bénéficié des progrès réalisés par et pour les gais et les lesbiennes. Le fait d'avoir étendu l'égalité pour une minorité a souvent eu l'effet d'entraînement pour favo­riser une autre minorité, surtout lorsqu'il s'agit de minorités qui ont en commun le fait de transgresser les normes sociétales liées au sexe. De plus, il ne faudrait pas oublier que les transsexuelles et transgenres ont souvent mené le combat aux côtés des gais et des lesbiennes. Cependant, les personnes trans ont encore beaucoup de pain sur la planche au niveau juridique et social. Les efforts herculéens de l'activiste Micheline Montreuil en témoignent (www.micheline.ca). Les cas de Kimberly Nixon, de Martine Stonehouse et de Michelle Douglas en sont d'autres exemples éloquents. Le manque de reconnaissance au niveau juridique reflète le degré élevé de persécution sociale qui existe toujours. Plusieurs refusent de reconnaître et d'accepter qu'une personne qui possédait les attributs d'un genre à la naissance serait plutôt d'un autre genre. Plus encore, on s'obstine à ne pas lui permettre de poursuivre un processus de changement de sexe si elle le souhaite ou, à tout le moins, l'état n'offre pas d'appui financier pour ce faire. Le manque d'acceptation et la négation marginalisent davantage les personnes trans qui sont déjà victimes d'ignorance, de mépris, voire de violence. Le 20 novembre marque la journée commémorative pour les personnes trans. Ce Jour du souvenir trans souligne les décès causés par les attaques violentes motivées par la transphobie – la crainte et la haine des personnes transgenres et transexuelles. Cet événement annuel, commencé en 1999 à San Fransisco, se déroule aujourd'hui dans plusieurs villes au monde. On commémore les personnes trans assassinées. Un site Web pour ce jour du souvenir trans nous montre le visage humain de cette violence (www.rememberingourdead.org/day). Par le passé, on ne parlait pas des questions touchant les personnes trans, même dans la communauté LGBT. À l'heure actuelle, il y a davantage de visibilité, de dialogue et, osons l'espérer, de progrès. Par exemple, depuis octobre 2002, les Territoires du Nord-Ouest ont une Loi sur les droits de la personne dans laquelle «l'identité du genre» est spécifiquement indiquée comme un motif protégé contre la discrimination. Cette ouverture dans le Grand Nord saura peut-être inspirer les législateurs ailleurs. En septembre 2004, lors des États généraux des communautés gaies, lesbiennes, bisexuelles et transgenres du Québec, les participants ont formellement reconnu et appuyé les revendications de la communauté trans. Toutefois, il n'est pas toujours évident pour les homosexuels et les transsexuels de travailler ensemble. Les premiers axent leurs démarches autour de l'orientation sexuelle tandis que les seconds s,attachent à l'identité et à l'expression du genre – des questions connexes mais pas identiques. D'autre part, plusieurs militants gais et lesbiens ont ressenti de la colère et de l'impatience de la part des personnes trans. Or, on peut tenter de comprendre combien cela peut être frustrant de demeurer aussi invisibles et ignorées pendant si longtemps. Le Jour du souvenir trans offre une occasion aux personnes gaies, lesbiennes et bisexuelles de manifester leur soutien auprès des transsexuelles et des personnes transgenres. Nous avons fait des progrès considérables au niveau des droits des homosexuels, mais il ne faut pas laisser pour compte les autres rayons de notre communauté arc-en-ciel. Cette solidarité des gais et lesbiennes envers les personnes trans se présenterait comme une solidarité exemplaire dans un monde où, malheureusement, les conflits se font nombreux et l'attitude du chacun-pour-soi prédomine. *Gilles Marchildon est l'ancien directeur général d'Égale Canada, un groupe pancanadien qui se porte à la défense des personnes lesbiennes, gaies, bisexuelles et transidentifiées.

se que je n aime pas des 3/4 des trans ,c est qu ils voudrait avoir les meme droit que les gays ,mais sans se battre et je trouve sela innaceptable car si il veules les meme droit ,alort ils devrait peut etre commencer par sortir du placart et montrer qu ils sont bien la et vivant pour l instant ils ne font que montrer qu ils n existe pas du tout.

 


 
 
posté le 02-06-2009 à 15:55:22

pensée.......

«Ce qui compte, c'est ce qui est inscrit non sur les papiers d'identité d'un homme mais dans son coeur.» «Personne ne saurait en finir. On peut changer de souffrance. mais on ne peut supprimer la souffrance.» [ Henri Troyat ]