ma vie d homme trans.

construire son identite propre et pouvoir la vivre au dela de l indifference des autres.

posté le 04-05-2009 à 09:39:07

mais un pas à la fois.........

< Connaître et ne pas agir est le plus grand inconvénient personnel qu'on puisse avoir. > Sharon Cruse

Lorsqu'on sait, dans notre coeur, qu'il est temps de changer, la peur surgit en nous et nous souffle d'arrêter. On parle avec soi-même et toutes les pensées d'hier refont surface; < Je ne peux pas > <Ça ne marchera jamais > < Il vaut mieux laisser les choses telles qu'elles sont >.

Lorsque cela arrive, sachez qu'il s'agit de vos convictions du passé qui reviennent encore et encore et qui vous empêche de grandir. Elles proviennent de la peur de commettre une erreur, de ne pas savoir quoi faire. C'est seulement en agissant qu'on peut grandir. Seul le changement peut nous guérir.

Aujourd'hui, je sais que je suis guidé et protégé sur le chemin de ma croissance et de ma liberté. Toute l'énergie positive de l'univers travaille pour mon plus grand bien. Je n'ai qu'à faire un pas à la fois,une journee a la fois.

 

 


 
 
posté le 04-05-2009 à 07:43:52

Notre destin....

Regarde devant toi,
N'oublie pas le passé,
Toutes les erreurs que tu as faites,
Volontaires ou involontaires.

Les cicatrises du passé sont les erreurs que tu ne feras pas dans ce futur qui est devant toi.

N'oublie pas ce que l'on t'as appris,
Ne regrette pas non plus les gestes faits,

car un jour,on t apprecie et l autre jours on te tolere.

Avance la tête haute,
Donne-toi le temps,
Car demain est ton destin,

tel est notre destinée.

 


Commentaires

 

1. laudys-et-violethill  le 04-05-2009 à 08:08:06  (site)

Voila qui demande bcp de courage, trés beau texte Clin doeil

 
 
 
posté le 03-05-2009 à 13:49:05

La simplicité de soi meme‏...

< Tout ce dont on a besoin pour l essentiel que le bonheur se trouve ici et maintenant, c'est d'un coeur simple. > ( Nikos Kazantzakis )

En vivant sainement sa vie et en appliquant tous les jours des valeurs sûres comme le respect, la compassion, le civisme et l'honnêteté, la vie devient beaucoup moins complexe.

Lorsque je me donne librement et que je pars avec l'intention de faire le bien autours de moi, comment pourrais-je être victime de la morosité et de l'angoisse ? Si je suis fidèle à mes propres principes et tenace devant l'adversité, comment pourrais-je dévier de mes objectifs ? La majorité des problèmes auxquels je fais face ne peuvent pas résister à mon regard perçant. Je suis l'auteur de tout ce que je ressens et de tout ce que je vis et de tout se que je fait. Alors comment est-ce que je pourrais demander à un étranger de quelle façon je dois penser et vivre ma vie ?c est a moi seul de gerer ma vie comme je l entend et non aux autres.qui mieux que moi meme me connait ,personnes d autres car les autres penses qu ils te connaisses comme tu te connait et pourtant c est faux,car personnes ne connait vraiment une personnes profondément.

 


Commentaires

 

1. CAJOLINE  le 04-05-2009 à 05:46:23  (site)


imatox

Bonjour, c'est Cajoline !
Voilà encore une semaine qui commence sous un soleil radieux et j'espère qu'il en est de même chez toi car c'est vraiment réjouissant, ça donne du courage pour la journée ! après le laisser-aller des trois jours qui viennent de passer je dois un peu mettre les bouchées doubles dans la maison, et j'ai les jumeaux avec moi pour me donner le moral !
Je te souhaite une merveilleuse semaine et une très bonne journée, et cette jolie colombe de la paix dépose chez toi des milliers de bisous.
Cajoline

 
 
 
posté le 03-05-2009 à 13:42:57

MAUVAIS GENRE

C’est l’histoire d’une femme qui ne s’est jamais reconnue dans le sexe féminin que lui avait attribué sa naissance. C’est l’histoire de l’homme qu’elle deviendra, d’une longue gestation et d’une auto-naissance dans une société qui laisse peu de place aux différences. C’est l’histoire de Gabriel, de son parcours du combattant pour convaincre institutions, corps médical – psychiatrie en tête –, de sa volonté de devenir un homme. découvrer un premier récit troublant et fort, un "coup de zinc" sur un sujet peu connu et sensible : les transgenres: ces hommes et ces femmes qui ne se reconnaissent pas dans leur sexe de naissance. Un premier récit qui m'a "habité" longtemps après sa lecture, qui m'a poussé dans mes retranchements et m'a ouvert l'esprit.

Petit résumé :
Elle a la trentaine et ne s'est jamais senti femme. Finalement confortée par son amie et par les années qui passent, elle décide d'entreprendre ce qu'elle n'a jamais osé faire : devenir un homme.Le narrateur est photographe, vit à Paris, cite Sagan et aime Léo Ferré. Gabriel, car c'est son nom d'homme, nous entraîne dans son quotidien ponctué de démarches judiciaires, médicales mais aussi dans sa relation amoureuse, et son implication de plus importante dans la communauté trans; son militantisme grandissant au fur et à mesure de sa transformation.
L'histoire est portée par une écriture soignée, fluide parfois didactique et par une fraicheur de ton, sans fausse pudeur, totalement assumée.
Mauvais genre est un premier récit synonyme d'ouverture d'esprit, de tolérance, d'acceptation de la différence; loin de toute norme judéo-chrétienne qu'on nous insuffle dans nos contrées occidentales. Le lire est une démarche. Il faut se défaire de tout carcan de préjugés, d'images préfabriquées et négatives sur une communauté trop mal connue. Au-delà de cette démarche, très vite l'effort laisse place au plaisir de lecture que j'ai éprouvé en suivant Gabriel, ce personnage sincère, complexe et volontaire dont j'ai partagé l'intimité.

Mauvais genre, c'est aussi l'histoire d'un combat militant, celui d'une femme moderne dans un Etat démocratique et républicain, qui ne se reconnaît pas dans son sexe de naissance,qui refuse de vivre plus longtemps avec cette souffrance et d'invoquer une déficience psychologique pour justifier sa transformation...C'est le combat permanent sur un choix jugé encore monstrueux par la norme.

A la lecture du récit, j'ai réalisé que je suis née alors qu'on venait à peine de reconnaître l'homosexualité. Bienvenue en France, nous sommes en 1982. C'était il y a un peu moins de trente ans, une bagatelle dans l'Histoire d'un pays. Je suis née à l'époque où le non conformisme à une norme lié à l'intime était sanctionnable. Les mentalités évoluent bien sûr mais lentement...très lentement.

Alors le troisième genre? Le sujet dérange, il est encore trop souvent tabou. Ce récit à la frontière d'un premier roman initiatique, a le mérite de poser intelligemment le débat. Dans certaines cultures, le troisième genre a pourtant toujours eu une place reconnue comme le reprécise l'annexe du récit. Pour les Indiens par exemple, le genre social était choisi plus tard même si le sexe était inhérent à la naissance. Aujourd'hui, début du XXIe siècle, cela ne vous étonnera pas de savoir que ce sont dans certains pays nordiques, en Allemagne, en Belgique, que les lois sont beaucoup plus favorables en faveur des transgenres. Des pays qui ont compris avant tout la détresse humaine, le droit aux choix liés à l'intime.

Pendant une grande partie du livre, je m'interroge sur la part autobiographique du récit...déroutée par certains passages d'une intense réalité qui m'ont extrêmement touché. Ce courage, cette honnêteté d'assumer qui on est. Axel Léotard, photographe et trans, n'était-il pas Gabriel ? Mais est-ce si important? Car au-delà de cette inévitable similitude, ce jeune écrivain que je découvre, a réussi à me plonger dans une histoire et un vécu loin de mon quotidien en me faisant appréhender la richesse d'une personne, sa différence et l'immense travail sur le regard de l'autre. Mauvais genre laisse tout sauf indifférent.

Un récit fort, poignant et instructif sur la différence.

 


 
 
posté le 03-05-2009 à 13:32:46

Tu seras un homme mon fils.

Tu seras un homme, mon fils

Si tu peux voir détruit l'ouvrage de ta vie
Et, sans dire un seul mot te remettre à bâtir
Ou perdre d'un seul coup le gain de cent parties
Sans un geste et sans un soupir.

Si tu peux être amant sans être fou d'amour,
Si tu peux être fort sans cesser d'être tendre,
et, te sentant haï, sans haïr à ton tour,
Pourtant lutter et te défendre.

Si tu peux supporter d'entendre tes paroles
Travesties par des gueux pour exciter les sôts,
Et d'entendre mentir sur toi leurs bouches folles
Sans mentir toi-même d'un mot.

Si tu peux rester digne en étant populaire,
Si tu peux rester peuple en conseillant les rois
Et si tu peux aimer tous tes amis en frères
Sans qu'aucun d'eux soit tout pour toi.

Si tu sais méditer, observer et connaître,
Sans jamais devenir sceptique ou destructeur,
Rêver, sans laisser ton rêve être ton maître
Penser, sans n'être qu'un penseur.

Si tu peux être dur sans jamais être en rage,
Si tu peux être brave et jamais imprudent,
Si tu peux être bon, si tu sais être sage,
Sans être moral ni pédant.

Si tu peux rencontrer triomphe après défaite
Et recevoir ces deux menteurs d'un même front.
Si tu peux conserver ton courage et ta tête,
Quand tous les autres la perdront.

Alors, les rois, les dieux, la chance et la victoire
Seront à tout jamais tes esclaves soumis,
Et, ce qui vaut mieux que les rois et la gloire,

Tu seras un homme, mon fils.


Rudyard Kipling

 


Commentaires

 

1. lamouche635  le 21-07-2009 à 09:52:37

jai lu et relu c est vraiment ca l amitié c est comme ca que moi aussi je le vois bravo alexandre a plus

 
 
 
posté le 03-05-2009 à 05:57:30

Malentendus(À MÉDITER)

N'avez-vous jamais eu le sentiment que beaucoup de conflits, de disputes ne sont dus en fait qu'à des malentendus, et que, contrairement à ce qu'on a parfois tendance à croire, beaucoup de gens sont en fait de bonne volonté, plus qu'on ne le croit. Cette situation n'est-elle pas due au fait que nous ne sommes pas les mêmes à l'intérieur de nous et à l'extérieur, que L'image qu'on a de soi n'est pas la même que la façon dont nous voient les autres ? Et qu'enfin nous sommes parfois maladroits avec la parole, que ce n'est pas un systeme de communication parfait, qu'on peut faire des erreurs de langage ou de vocabulaire, qu'on peut avoir voulu dire quelque chose et qu'après on se soit rendu compte que cela a été compris autrement que ce qu'on a voulu dire... Et qu'en plus de la parole, il y a la communication non-verbale, les gestes, les expressions du visage, des haussements d'épaule, des petits sourires, des sourcils qui se relèvent, des yeux qui regardent au ciel, des raclements de gorge, etc... qui amènent à encore plus d'interprétations. Sans parler du ton de la voix, de la façon dont on dit quelque chose. Tant de choses sujettes à interprétations, source de malentendus. Pourquoi s'étonner alors que souvent les autres voient en soi autre chose que ce qui est, mais plutôt ce qu'ils pensent voir. Rares sont ceux qui savent voir au-delà des apparences, qui ont une perception juste, comme s'ils avaient un oeil de plus, cet oeil qui voit plus loin que l'aspect extérieur des choses. Tant de gens vivent dans leurs fantasmes, leurs émotions, se laissent guider par leurs émotions, s'y noient, perdent pied sans jamais s'arrêter un peu histoire de se demander s'il sont dans le vrai ou totalement à coté. D'autres refusent la lucidité, préfèrent se complaire dans leurs mensonges, peut-être par peur de se voir eux-mêmes tels qu'ils sont, et alors cherchent d'autres qui comme eux se complaisent dans les mêmes mensonges et fantasmes. Il est plus facile à se dire qu'une chose est vraie quand on est un grand nombre à le dire ! Comme cela peut arriver par exemple quand on parle à plusieurs de quelqu'un en son absence, qu'on se met d'accord à penser la même chose sur lui, parce que cela arrange tout le monde, sans laisser à l'intéressé le loisir de répondre puisqu'il n'est pas là ! Ou il peut arriver la même chose quand quelqu'un parle peu, le silence est parfois source de malentendus.

Alors peut-être faut-il être indulgents avec les erreurs de langage des uns ou le manque de lucidité des autres, et voir surtout s'il y a bonne foi et volonté de bien faire, c'est déjà ça...

 


 
 
posté le 03-05-2009 à 05:46:18

bon dimanche a tous...

un sourire naturel,c'est la porte ouverte de tous les instants de notre vie.

le don du sourire,

il ne coûte rien et produit beaucoup.

il enrichit celui qui le reçoit
sans appauvrir celui qui le donne.

il ne dure qu'un instant,
mais son souvenir est parfois immortel.

un sourire,c'est du repos pour l'être fatigué,
du courage pour l'âme abattue,
de la consolation pour le coeur endeuillé.

c'est un véritable antidote
que la nature tient en réserve
pour toutes les peines.

et si l'on refuse le sourire que vous méritez,
soyez généreux,donnez le vôtre.

nul en effet,n'a autant besoin d'un sourire
que celui qui ne sait pas en donner aux autres.

 


 
 
posté le 02-05-2009 à 14:03:12

Reprendre mon pouvoir‏ ..

< Beaucoup de ce qu'on sait, aussi bien intuitivement que rationnellement, est enseveli sous des décennies pendant lesquelles on a appris à douter de soi, à anéantir notre pouvoir de créer et à laisser aux autres le choix de décider pour nous. La méditation nous permet de creuser à travers le manque de confiance en soi pour découvrir notre propre sagesse. > ( Hallie Iglehart )

Aujourd'hui, je dévoile tous les aspects du manque de confiance en moi et je les abandonne. Aujourd'hui, en découvrant le courage qui provient de ma propre sagesse, je reprends tout le pouvoir que j'ai donné aux autres.

 


Commentaires

 

1. comete59  le 02-05-2009 à 14:04:17  (site)

bonsoir, tres joli animaux je les aime beaucoup
bonne continuation
comete59

 
 
 
posté le 02-05-2009 à 14:00:15

ETRE SOI..............

Pendant si longtemps, plusieurs d'entre nous se sont efforcés d'être ce qu'ils pensaient devoir être ce qu'ils pensaient que les autres voulaient qu'ils soient, ou ce qu'ils préféraient être plutôt que d'être tout simplement eux-mêmes. On s'est caché de soi-même pendant si longtemps. On a emprisonné nos sentiments dans des bouteilles et dans des personnes. On s'est caché de nos peurs et de notre vérité au lieu de regarder qui on était vraiment. On s'est complètement caché de soi-même.

On a été créé pour être soi-même et on a chacun notre place dans l'univers. Il est temps d'être qui on est et d'agir à notre façon. Ce n'est qu'ensuite qu'on pourra commencer à s'aimer tel qu'on est aujourd'hui. Et plus on s'aimera, plus on sera heureux.

Aujourd'hui, j'apprends à me connaître. Aujourd'hui, j'accepte qui je suis. Aujourd'hui, je m'aime COMME JE SUIT VRAIMENT ET COMME JE LE VEUT..

 


 
 
posté le 02-05-2009 à 07:47:08

LES JOURS OU SA VA MAL......

Il y a des jours comme ça...


Mais tu n'as pas le choix de continuer...
Le bonheur parfait sur la terre est difficile à trouver
Je pense même qu'il ne doit pas exister
Alors au lieu de le chercher
Contente-toi de ce que la vie t'a donné.
Et comme on dit souvent...
Après la pluie, le beau temps !

Regarde autour de toi
Tu verras que tu n'es pas seul dans ton cas
Des problèmes, tout le monde en a
Chacun essaie de les surmonter
On n'a pas le choix, il faut continuer...
De grimper sur la route de la vie souvent... escarpée
Souvent, ça prend des maudits bons crampons...
Si on ne veut pas finir seul et misérable dans son salon.

On passe tous par de durs moments
On se dit que rien ne sera pareil comme avant
Et tout à coup, on se lève un matin
Et juste l'air et le soleil nous font du bien
On réalise qu'on était juste un peu dépassé
Qu'il y a de belles choses à regarder
Si on prend le temps de s'y arrêter
Et de regarder de tous les côtés.

N'oublie pas que chaque 24 heures
Est un bonheur à savourer
Essaie de bien vivre chaque journée
Car après... ce sera bel et bien fini, crois-moi
La réincarnation, ce n'est pas tout le monde qui y croit !

 


Commentaires

 

1. feeline  le 02-05-2009 à 07:52:21  (site)

hello comment va!! je passe te souhaiter un bon week end!!! biz féeline et je t'envoie un petite ange!!Image hébergée par Casimages.com : votre hébergeur d images simple et gratuit

2. trasboy  le 02-05-2009 à 08:02:52  (site)

merci beaucoup mon amie c tres beau et tres gentil.
merci pour ta visite
alexandrexxx

 
 
 
 

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